LES OBJETS TROUVÉS D’AGNÈS


(Page en cours de création... )


Agnès b : " Toute petite, vers 3/4 ans, dans le jardin de notre maison d'Antibes, j'étais à la hauteur des lézards et des cailloux. J'en choisissais de beaux à la plage et je longeais le bord de mer pour y trouver des coquillages.

Je les offrais à ma mère... comme des cadeaux pour amadouer une déesse ! Tous, ils se retrouvaient dans un plat en céramique rosée sur ma commode... ils y sont encore !
"





DÉFILÉ PE 20



En voiture Simone ! 
Sac multi portés, inspiré du voyage et du pliage .








PORTER CE QUI NOUS PORTE


Un héritage empreint d’histoire(s)




        Si l’on doute du fameux : « Impossible n’est pas français », je rétorque et avance la preuve de sa véracité, car, s’il est connu qu’avec des si, on mettrait Paris en bouteille, je vais prouver qu’avec du si-llicone, je mettrai Paris en bijoux .





PETITES ANECDOTES AUTOUR DU MOULAGE EN SILICONE




        Ma toute première étape de production a été de prendre des empreintes de monuments historiques de Paris et autres objets reflétant la culture française. Il faut mélange deux pâtes d’égal volume afin d’obtenir le précieux silicone. Ce dernier ayant la propriété de prendre en cinq minutes à vingt degrés, il était totalement adapté à mon projet car, dans les lieux publics, il est préférable de ne pas trop s’attarder à coller, ce que les gens devaient penser être, du chewing-gum sur les statues. De mai à septembre, ce fut un réel plaisir  d’effectuer ces opérations commando.

        Cependant, à partir du mois de novembre, je compris mon malheur lorsque la pâte mit quarante minutes à prendre puisque la température extérieure était désormais de six degrés. Pour pallier cette difficulté, j’achetais un ‘réchauffe main’, petit appareil électronique sans fil émettant de la chaleur. Ainsi, je réduisis mon temps de prise à vingt cinq minutes. J’utilisais également ma chaleur corporelle en m’aidant de mes mains que j’appliquais sur le silicone et que je réchauffais toutes les deux minutes. Désormais, je n’avais plus l’air non seulement bizarre à coller des ‘chewing-gum’, à les regarder cinq minutes,
puis à les décoller, je me retrouvais les mains sur les monuments, telle une femme désespérée, en pleine méditation, ou dans une grande détresse. Un groupe de touristes espagnols m’a un jour proposé de m’asseoir ou d’appeler un médecin alors que je me tenais à un lampadaire du Louvre. Gênée, je n’ai pas osé leur répondre que je prenais une empreinte mais répondis très naturellement, que malgré les apparences, je me portais comme le Pont-Neuf. Pour prendre une empreinte sur la statue de la place de  la République, je dus me frayer un chemin entre les bougies et messages de paix. Sur la pointe des pieds, les mains en l’air appuyée sur un des tableaux relatant l’histoire de la république française, puisque celui-ci était très haut, la tête inclinée par la fatigue de mes bras, je devais avoir l’air d’une citoyenne en plein recueillement suite aux attentats. Les regards étranges se mêlaient à ceux porteur de compassion.

        Une fois mes excursions
terminées, j’avais constitué ma
petite armée d’empreintes en silicone .


Fontaine Wallace




Balustrade du Grand Trianon





Balzac dans le métro


Le Spleen de Paris ou les mots dorés


Comédie Française



École des Beaux-Arts de Paris


Place de la République



Jardins du Luxembourg


Lampadaire du Louvre


Pont Alexandre III



DU NÉGATIF AU POSITIF










Bronze / Porcelaine / Marbre


















PRECIOUS BODIES







Aperçu de ma collection de diplôme / CSM / 2015
Argent 925 mate et poli
Nacre
Topazes (financées par Swarovski à la suite d’un concours gagné)
Topazes dans une résine transparente

LA MAIN À LA PÂTE



Le dessin en sculpture, c’est l’incantation qui permet de faire plonger l’âme dans la pierre.” 



Ateliers / Bois, Lumière, Poussière





Monsieur Barbu

 



Étapes de moulages pour faire une copie en plâtre .




Mademoiselle Chignon
 


Madame Bigoudis